Faits et méfaits du notaire Vincent BERANGER de Crest, instigateur de cette lamentable histoire.
Ses « collaborateurs » sont sur le site.
Jacques GARCIN meurt de mort violente (choc anaphylactique) le 30 août 1994 à l’âge de 59 ans.
Le notaire lit le testament aux 2 enfants, fait signer l’acte de notoriété, puis plus rien.
Corinne et Yvan s’adressent à l’avocat de Valence, Jean-Louis BARTHELEMY, et une expertise a lieu le 22/09/95, expertise dont ils n’auront enfin le vrai rapport, après que l’avocate de la veuve, C. JULLIEN-PALETIER et le greffe du tribunal de Valence l’aient bloqué, en disant qu’ils ne voulaient pas le payer, le 1/07/97 !
Voir la page de l’expert Jean-René AMOUROUX.
Mais, entre temps, le notaire BERANGER n’a pas perdu de temps. Grâce à notre notaire du Vaucluse, Me Bruno GRENIER, qui nous représente et qui obtient l’historique des comptes en banque vidés par la veuve et nous citons la Caisse d’Epargne de Crest en la personne de Mr PERRIGUET, qui nous a reçus le 13/11/ 96 à 9h :
« le notaire BERANGER nous a téléphoné et nous a dit Mme Nicole GOMBERT-GARCIN va vider les comptes en banque : « Ne lui faites pas de difficulté, j’enverrai les justificatifs après » SIC
Les justificatifs ne sont jamais arrivés (preuves dans le classeur que nous avons pu consulter).
Notre notaire, Me Bruno GRENIER, commence à être irrité par l’attitude du notaire BERANGER qui ne cesse de lui mentir, voir le courrier qu’il lui a adressé le 16 octobre 1996 où il n’existe, dans la succession, que la moitié d’une maison, bien propre de Jacques GARCIN, acheté le 8 juin 1978 (lire la page Jacques GARCIN).
Les enfants n’héritant pas chez lui ; ils sont « dédommagés ».
Le sort de 3 véhicules (lire la page le 4/4 bradé). Enquêtant auprès de la préfecture de la Drôme, on nous répond : « le notaire BERANGER a demandé de « verrouiller tous les renseignements concernant ces véhicules ». En effet le 24/10/94, 40 jours après le décès, les cartes grises sont au nom de Nicole GOMBERT, la veuve. Elle vend les 3 voitures et encaisse l’argent de cette vente.
Les enfants, ne voulant pas d’inventaire, demandent seulement 4 objets ayant appartenus à leur père comme souvenirs de lui (lire la page le breda volé). Le notaire BERANGER écrit à Me FLANDIN, désigné pour régler la succession, le 12 /12/2003, que ces objets sont à disposition, mais chez lui, à Crest. Et pour cause ! Quand les 2 mandataires se font accompagner par l’huissier Murielle DUMAS pour récupérer les objets, ils trouvent 2 fusils bien emballés qui, une fois examinés se révèlent deux épaves n’ayant rien à voir avec le BREDA et le DARNE de Jacques GARCIN.
Cette photo est dédiée à Marc CASTEL, chef de contrôle qui a affirmé « ils ont touché leur part« .
Alors que Corinne va mourir le 4 mars 2004, et que tout le monde le sait, une réunion est provoquée chez Me FLANDIN, à laquelle participe la veuve, Nicole GOMBERT-GARCIN, son avocate, Cécile JULLIEN -PALETIER, le notaire BERANGER, notre avocat, Pascal EYDOUX, s’étant abstenu jugeant cela indigne.
Le notaire, Vincent BERANGER, bien qu’exclu officiellement, a cru bon de nous adresser, à travers Me FLANDIN, un partage inique, au cas où notre famille, écrasée par le chagrin, le signerait pour en finir le 13 décembre 2003.
Nous ne parlerons que de la dernière personne consultée, Me Yves LEDUC, qui résume toutes les autres : pas de problème, mettre les biens et les loyers sous séquestre etc… Mais ! Il s’agit du notaire Vincent BERANGER, contre lequel on ne peut rien parce qu’il a été toujours « très arrangeant ».
Que dire du comportement du chef de contrôle et du conservateur des hypothèques de l’époque qui enregistrent cette attestation de propriété signée par un héritier sur 3 ; les 2 enfants ignorant tout.
La maison du père, est évaluée par ce notaire 291 000 Fr, pour le prix d’un cabanon, et par l’expert 520 000 Fr parce qu’elle est loin des commerces !
Surtout parce que, sur le plan, dans le rapport d’expertise, c’est la construction d’origine, toute petite. On pense à tout pour tricher le plus possible.
ça au lieu de ça