L’expert

JEAN-RENE AMOUROUX, EXPERTJean René Amouroux

Son rapport d’expertise, déposé le 24 avril 1997, est émaillé d’expressions telles que : il est vraisemblable… dans le cas où… il est possible… il semblerait… il apparaît…, ce qui laisse à penser qu’il n’a pas eu en mains les documents authentiques .

Mais que l’on a glissé, après la photo de la maison que vous avez pu admirer, un plan ancien, avec un petit cabanon, au lieu d’un relevé cadastral correspondant avec la maison actuelle, ce qui l’autorise à une estimation de 550 000 francs, parce qu’en plus « elle est loin des commerces »…

Entre le dépôt du rapport en l’état du 24 avril 1997 et l’ordonnance de taxe du 30 mai 1997, car nous ne voulions pas payer ! Notre avocate B. PRUD’HOMME avait multiplié les demandes de délais pendant que sa complice, l’avocate C. JULLIEN-PALLETIER rajoutait dans le rapport, sous forme de dires, tous les faux retirés par l’expert.

Nous avons refusé de payer 13 402,27 francs pour un rapport fantôme et nous avons assigné J.R. AMOUROUX devant la Cour d’Appel de Grenoble le 9 juillet 1997.

Et je t’ajoute, et je t’enlève un peu plus, si bien qu’à l’examen de la Chambre Départementale des Notaires, CE RAPPORT S’EST AVERE INUTILISABLE.

Jean-René AMOUROUX en a-t-il eu marre d’être soumis, de ne pas être payé et surtout de passer devant la Cour d’appel de Grenoble ?

Grâce à lui, nous avons eu un vrai rapport et une lettre disant que, bien entendu, il n’avait pas examiné les dires joints à ce rapport remis en l’état !

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