Monsieur DIEVAL est à côté de la plaque !
Il aurait dû nous écrire, aux enfants de Jacques GARCIN : « nous avons décidé, depuis 16 ans d’attribuer au conjoint survivant tous les biens de Jacques GARCIN. Pour cela nous avons procédé en 2 étapes : d’abord attribuer à la veuve la jouissance de tous les biens (3 procès), ensuite, par un procès bidon, alors que l’affaire est déjà jugée, lui attribuer la propriété de tous les biens. »
Mais heureusement, par un délire qui lui est propre, le conjoint survivant multiplie les démarches pour vendre.
On cherchera vainement la signature des 2 enfants légitimes , hormis sur l’acte de notoriété irrévocable…
Que penseront les utilisateurs futurs de ces services en comparant ce qui est publié dans le journal des notaires de la Drôme et vos actions réelles, condamnables ? Qu’importe, ont-ils le choix ?
Et la mère, Sylvette GARCIN, sur qui l’on s’acharne, pour qui l’on n’a pas mesuré, ( un mot à la mode) LA RESILIENCE.
Sylvette GARCIN, mandataire, lui répond :
Réponse :