Après avoir volé les enfants, faisons payer la mère ! Intimidation ratée et forfaiture

Il y a quelques mois une procédure est montée contre Sylvette GARCIN pour insulte et diffamation… Seulement la procédure révèle quelques errements, avant de se dissoudre d’elle même…  VOUS AVEZ DIT ILLICITES ? C’est à dire contraire à la loi et à la morale ?

Sylvette GARCIN a été récemment condamnée en référé par le TGI de Privas à payer la somme de 4 999,07 € pour des remarques sur des documents authentiques publiés en 2009, comme on en fait « au masque et la plume », augmenté jusqu’à 5 482,48 € après dénonciaton au débiteur, du procès verbal d’indisponibilité du certificat d’immatriculation de 2 véhicules. Il s’agissait, entre autre, de la célèbre CALIBRA de Sylvette GARCIN, vendue le 7 mai 2011 ! Toujours de la haute compétence sans doute. Comme on ne peut plus lui reprocher grand chose, il est temps de raconter des bobards.

Liste des bobards utilisés pour en remettre une couche pour condamner Sylvette GARCIN  :

1-mettre une voiture sous séquestre, voiture vendue le 7 mai 2011, séquestre déclaré à Paris, place BEAUVEAU et à la préfecture de la Drôme sous un faux n° d’immatriculation, 4205TH26 au lieu de 5479VC26, et la préfecture qui ne s’en aperçoit pas ? L’huissier non plus d’ailleurs, confiant, qui prend ses renseignements « par téléphone » !

2- Attribuer à Sylvette GARCIN le site succession-drome.fr, ouvert soi-disant le 29 avril 2017…

3- Accuser Sylvette GARCIN de la part de l’avocate C. JULLIAN-PALETIER de nouvelles injures à son égard alors que nous citons les propos de Patrick BOUCHERON, maître de conférence au collège de France devant ses étudiants sur « la vérité, avant, après » : « La justice, la vraie, n’a que faire de ces bonimenteurs, de ces vitupérateurs professionnels qui alimentent les rouages du grotesque ; il faut arracher le masque de ceux qui se caricaturent eux-mêmes ; il s’agit pour les utilisateurs du mensonge de produire un discours qui domine ! »

Cette accusation a commencé par l’utilisation d’un mensonge faisant valider une fausse prescription de 3 mois concernant une lettre ouverte à André GUEUGNON du 4 novembre 2016 au lieu du 4 décembre comme l’affirme l’avocate. Mais le TGI de Privas, comme la justice, avec un petit j, se contente du discours des avocats…

Mais trop commence à rendre soupçonneux. A quoi sert un avocat ?

Pour compléter et juste rétablir la vérité :


Le notaire Jacques Félix BERANGER (le père) a cru bon d’établir le même jour 2 actes contradictoires : la convention de divorce signée par Jacques et Sylvette GARCIN le 8 juin 1978 comme quoi elle lui payait la moitié de leur maison et qui permettait à Jacques d’acheter une maison à Saillans et 2 vignes AOC. Mais le divorce n’étant pas prononcé jusqu’au 31 octobre 1978, il est spécifié, qu’en cas d’annulation, la moitié des biens achetés appartiendraient à Sylvette GARCIN en vertu de la communauté toujours existante entre eux.

Ce qui n’a pas empêché ce notaire de rédiger, en même temps, un acte comme quoi les mêmes biens achetés l’étaient par Jacques et Mademoiselle Nicole GOMBERT, célibataire, avec 3 lignes vierges.

Remarque : l’avocate ignore la surface des vignes AOC ? 3 extraits à l’appui.

Nous voilà en 2008-2009, de nouvelles dispositions pour régler les indivisions applicables au 1er janvier 2007, démarches que nous confions à notre notaire familial, Claude-Paul DELMAS et dont voici la conclusion.

Retenez bien le 23 février 2009. Existe-til un service d’espionnage conventionnel au Tribunal de Valence ? La réponse fut fulgurante : le 4 mars 2009 nous étions jugés. Qui s’étonnerait encore de l’absence d’assignations ? Vous avez dit illicites ? Regardez donc ce document de prés !

Le 1er avril 2009, au reçu des significations, étonnantes pour des gens jugés sans le savoir, visite accompagnée par huissier au greffe du tribunal de Valence ; dans le dossier ouvert devant nous : rien ne concernant cette procédure !

En aôut 2009 apparaîssent au greffe de Valence les 6 pages précédentes et les significations, mais d’assignations point !

Enquête chez le défenseur des droits à la demande de Xavier GILLES et réponse donnée sans aucun rapport.

Convoqués sous 15 jours à partir du 26 juin 2008 pour actions relatives à la filiation et aux subsides. Quel rapport avec le 4 mars 2009 ? AUCUN !

Ainsi fonctionne la justice au tribunal de Valence qui permettra déjà à quelques notaires dromois et autres conservateurs des hypothèques de s’abriter derrière « vous avez été jugés » pour distribuer tranquillement 5 biens immobiliers restant de la succession de Jacques GARCIN.

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